Je veux vivre 24 fois par seconde, à la lumière mordante du soleil, plaqué sur une toile tendue ; un écran large et aussi vaste que les plans de mes (men)songes. Ainsi je serai vérité, réalité, rayon diffracté s’écrasant en profondeur et reflétant dans l’obscurité, la solitude de l’expérience collective.